Carnaval en Guadeloupe |
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En Guadeloupe
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La
Guadeloupe vous accueille pour vivre son Carnaval |
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La foule envahie les rues débordantes de couleurs, le rythme est roi, pas un endroit ou la musique n'est pas reine, le sourire est de mise. Le Carnaval a envahi toutes les localités. N'hésitez pas à participer ! Il vous est possible de participer, de dépasser le simple statut de spectateur en vous joignant à de nombreux Groupes qui acceptent avec plaisir la présence active de non initiés. Vous pouvez contacter, par exemple, le groupe Waka Chiré Band de Sainte-Rose. Contact : Cédric LARAIN 0690.32.56.32 N’hésitez pas à contacter également les fédérations et comités qui pourront vous diriger les groupes accueillant des visiteurs. Organigramme |
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programme du carnaval |
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2023 Mardi Gras le 21 février 2023 |
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Pas de Carnaval cette année pour
cause de
COVID19 |
Carnaval 2020 |
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petit lexique
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Fédération des Fêtes et du Carnaval de la Guadeloupe Kolektif Mas Kiltorèl Fédération Guadeloupéenne du Carnaval Office du Carnaval de Guadeloupe LUBERC 3000 The Commitees for each region: GCCRP - Pointe à Pitre Comité du Gosier Association des Groupes Carnavalesques de Sainte-Rose
(A.G.C.S.R.) Comité d’Organisation des Associations carnavalesques
(C.O.D.A.C) Pointe-Noire Comité Carnavalesque du Moule Comité de Capesterre B/E Comité Abymes (KZAKK) Comité Baie-Mahault Comité Sainte-Anne Comité de Trois-Rivières Comité de Bouillante The bands: Akiyo fondé en 1979, le 1er groupe à Po GROUPE INTER SECTIONS DE CAPESTERRE Belle-eau Mango Dlo de Basse-Terre, c'est le 1er groupe de carnaval à
synthé il a été fondé en 1984 par Jean Tamas et disparu dans les
années
1990 Organigramme 2017 |
Le
carnaval et les
différentes communautés : Dans la tradition carnavalesque, différentes communautés ont participé à la création et à la diversification du carnaval. Les travailleurs saisonniers de l’industrie sucrière ont ainsi ontribué au développement des « Mas ». Dans les années 1960, on observe une participation symbolique des Indiens dans les parades et sur les camions. Cette participation disparaîtra sous cette forme avec le développement des associations indiennes qui entreprennent de développer les éléments d’une culture indo guadeloupéenne. La communauté haïtienne prendra sa part dans le carnaval dès les années 1970 avec, entre autres, le groupe LOBODIA. Aujourd’hui, la situation a largement évolué avec une participation d’au moins trois groupes haïtiens entrainant le développement d’une musique particulière avec des raras et des vaccines. Plus récemment, on peut noter une participation organisée de la communauté de République dominicaine. De même, la communauté bretonne prend toute sa place dans les manifestations carnavalesque, tout comme ceux qui s’inspirent de certaines traditions brésiliennes. Le carnaval devient ainsi un moment d’affirmation culturelle et identitaire, en même temps qu’un moment de partage. Les
groupes à peau
(« Gwoup a po ») : La formule « Groupe à peau » (« Gwoup a po ») apparaît progressivement à la fin des années 1970. Utilisée par le groupe AKIYO pour marquer la différence avec les autres groupes utilisant soit des futs de plastique soit des caisses claires comme instruments percussifs, elle témoigne de la volonté de mettre en œuvre des tambours d’aisselles avec des peaux de cabris. La multiplication des groupes utilisant la même technologie et s’inspirant, pour la plupart, de la musique dite « Mas a Senjan », entrainera une généralisation d’uns distinction entre, d’une part, les « Gwoup a po », d’autre part, les « Groupes à caisses claires ». D’autre part, les « Gwoup a po » vont progressivement générer le développement d’une mystique particulière, de formes de déguisements traduisant la volonté de s’inscrire dans une histoire de la Guadeloupe et de l’appropriation par les esclaves des formes carnavalesques. Les « Gwoup a po » portent une histoire, une organisation, une mystique. Les
groupes de ti mas : Par « Groupe de ti mas » on entend généralement des groupes formés pour l’essentiel de jeunes qui utilisent pour la plupart comme instruments percussifs des steel pan associés à des fûts de plastiques faisant usage de basse, à des caisses claires et à des sifflets. Généralement ces groupes, où les participants sont intégralement masqués et habillés sommairement, tilisent des formules tirées du hip hop, souvent acrobatiques, pour s’exprimer dans les rues. Ils onnaissent actuellement un développement significatif, ainsi que des modifications dans leur manière de défiler en faisant une place plus grande à des séquences qui sont de véritables scènes de théâtre de rue. Le terme « Ti Mas » ne doit pas faire illusion : ces groupes sont souvent très fournis et ont donné naissance à de nouvelles formes de participation. Les
groupes à caisses
claires
: Avec la quasi
disparition des
défilés derrières les camions avec des orchestres embarqués ou
des
sonorisations, se sont développés des groupes à pied. Ceux-ci
vont,
pour
l’essentiel, choisir des percussions modernes pour leur
rythmique. Les
caisses
claires seront ainsi les instruments de base, tournant pour la
plupart
des
rythmiques tirées des orchestres de bals de l’époque ainsi que
de ma
musique
brésilienne. Progressivement, l’instrumentation évolue avec,
d’une
part,
l’utilisation de gros fûts de plastique pour assurer les basses,
l’utilisation
de soufflants (trompettes, trombones) pour lancer les mélodies
et les
gimmicks,
et même, en phase statique, l’utilisation par certains de
tambours gwo
ka. On
est donc en présence d’une musique qui est en pleine évolution
et qui
est
généralement associée à des groupes qui pratiquent des parades,
avec
des décors
souvent importants et une organisation particulière privilégiant
la
mise en
œuvre de véritables chorégraphies. Comme pour les « Gwoup a po
»,
derrière l’uniformité
apparente, il y a une grande diversité de pratiques. Les
groupes de synthé
: Avec le développement des groupes à pied, une des formules a consisté à faire descendre les orchestres des camions et à faire circuler des petits groupes avec des instruments électriques (synthétiseurs, basse, guitare) à pied derrières des camionnettes. Ces groupes se sont développés principalement à Basse-Terre et à Morne-à-l’Eau, donnant ainsi naissance à une catégorie désigné sous le nom de « groupes de synthé ». (Informations recueillies sur l'Office du Carnaval en Guadeloupe) |
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