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SAINTE ROSE - 97115 Mairie Présentation et Hébergements : consulter
Si vous avez des nouvelles concernant cette commune, envoyez-nous un message : contact@imct.info 13/07/2014 - "MARCHÉ AN NOU - DE LA
TERRE À L'ASSIETTE" L’association Terres &Traditions a l’honneur de vous convier à son marché traditionnel « Marché AN NOU de la terre à l’assiette » qu’elle organise durant la période estivale (Juillet-Août) tous les deuxièmes et quatrièmes dimanches du mois sur la place Tricolore à SAINTE-ROSE de 6h à 13h, et tous les mercredis à la rose GOYAVE, de 9h à 17h. Vous y découvrirez des Artisans, des Agriculteurs et des Agro transformateurs tous passionnés et fiers de leurs métiers, qui seront à votre écoute et vous feront passer un moment agréable et inoubliable. Venez nombreux (Parents, enfants, familles) vous amusez et dégustez des produits authentiques issus de notre terroir. Infoline: 0690/74.77.68 - 0690/54.64.56 04/03/2013 05/08/2011 Après la création de la Direction des Affaires Culturelles et du Patrimoine de la Ville en 2009, cette année 2011 restera exceptionnelle pour notre Commune. En effet, les prochaines semaines seront encore très riches pour notre communauté avec le Festival de Folklore et traditions du Monde qui se déroulera du 5 au 15 août.
Patrimoine. Des travaux d'archéologie marine ont eu lieu récemment du côté de La Ramée. C'est ce qu'a rapporté Virgile Irep, directeur des Affaires culturelles et du patrimoine, lors de la dernière réunion du conseil municipal. « On a retrouvé les restes d'un appontement et d'un site d'embarquement du sucre. Les vestiges de ce qu'on appelait communément « La case à pirogues » sont pratiquement intacts et l'appontement est encore visible. Les archéologues ont pu repérer les restes de poteaux qui étaient fichés au fond de la mer avec un empierrement pour les soutenir. Ce site datant du début du XVIIIe siècle est encore en très bon état avec une évolution dans le temps. » Des visites sur le terrain Cette découverte pourrait faire l'objet d'une valorisation, sachant que la municipalité a opté pour l'ethnologie et le développement de tout ce qui touche au patrimoine archéologique sur le territoire communal. Ces recherches, auxquelles a participé Virgile Irep aux côtés des représentants de la Drac, ont pris fin le 20 juillet. Elles devaient faire l'objet d'une communication, lors d'une conférence sur l'archéologie qui a eu lieu récemment à la Martinique. Selon Virgile Irep, il y a sur le site de La Ramée, en bordure de mer, des vestiges archéologiques très importants (pétroglyphes, roches...). « Il y a tout un travail qui est réalisé. Cela pourrait faire l'objet d'une valorisation, en partenariat avec la Drac et les autres institutions. J'ai interrogé l'archéologue de la Drac sur la possibilité d'entreprendre des recherches sur la Pointe Madame, où il y a des canons au fond de la mer. » Classés monuments historiques Et de préciser : « Tous les pétroglyphes de Sainte-Rose seront protégés et classés monuments historiques. C'est ce qui a été souligné, lors d'une réunion à la préfecture, entre toutes les institutions concernées. Des visites pourraient se faire sur le terrain, lors des journées du patrimoine, afin de faire découvrir et comprendre toute cette richesse archéologique » . Reste aux responsables municipaux de signaler correctement cette richesse, de manière à ce que Sainte-Rose puisse inscrire un nouveau site remarquable à son patrimoine. Tel est l'objectif que poursuit Virgile Irep. Le polissoir de l'Anse Dindé, témoin de la présence et de la vie des Amérindiens sur le territoire de Sainte-Rose. Madame-Mambia : une foule de richesses La zone qui s'étend de Madame à Mambia cache une foule de vestiges archéologiques qui constituent des traces de la vie et des coutumes des Amérindiens ayant occupé ces lieux. On pourrait citer le bloc-polissoir, situé à l'Anse Dindé, à quelques mètres du littoral. Cette roche volcanique, très rare aux Antilles, comporte deux cupules-polissoirs en forme de fuseau qui servaient à polir et à affûter les outils. Une copie en résine Elle fut dégradée, par méconnaissance, par des visiteurs qui l'utilisaient comme barbecue. C'est ainsi que la chaleur a provoqué l'éclatement du bloc en écailles d'une épaisseur d'un à trois centimètres. L'an dernier, des techniciens spécialisés ont procédé au recollage des écailles et au remplissage des fissures, avant de mouler la roche dans le but de pouvoir conserver une copie en résine. (France-Antilles Guadeloupe)
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