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LE MOULE - 97160 Mairie
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les Puces du Moule : Ballade en kayak sur la mangrove
Un Championnat de Surf Bodyboard Longdoard et Sup aura lieu du 27 au 30 Mars 2014 en Guadeloupe. Le lieu du Championnat sera à l'Anse Salabouelle à Moule ( Portland) De nombreux Club de Surf dont le Poyo Surf Club participeront à cet évènement. Renseignements sur http://poyosurfclub.com Qui n'a jamais remarqué cette imposante bâtisse en passant sur la route nationale entre Le Moule et Saint-François ? Loin d'être une habitation ordinaire, la maison Zévallos, qui a gardé le nom d'un de ses anciens propriétaires, est un site chargé d'histoire. En 2010, le dernier en date, René Débibakas, un enfant du coin, a fait donation de cette propriété de 2,5 hectares à ses deux fils, Patrick et Éric. Les jeunes gens ont rapidement émis le souhait de faire connaître l'histoire du site au plus grand nombre. Un projet de réhabilitation est en cours. Il devrait rendre à l'habitation son lustre d'antan. Mais en attendant, des visites de la maison et du jardin sont proposées depuis mai, avec l'aide de l'association Les Amis de la maison de Zévallos. En passant le portail, trop longtemps fermé au public, on découvre d'abord la magnifique demeure construite en bois, fer et briques. La bâtisse possède de nombreuses similitudes architecturales avec la villa Souques-Pagès, désormais Musée Saint-John Perse, à Pointe-à-Pitre. D'ailleurs, la légende prétend qu'elles étaient destinées à la base à un riche propriétaire en Louisiane. Mais de récentes recherches mettent en doute cette version. Une autre légende dit qu'elle serait hantée. Là encore, plusieurs versions seraient racontées. LES RUINES D'UNE ANCIENNE SUCRERIE « Ce que l'on sait c'est qu'elle aurait été montée sur le terrain probablement en 1871 » , raconte Maggy Beausir. Mère des propriétaires et passionnée d'histoire, c'est elle qui guide le visiteur. Outre le rez-de-chaussée de la maison - l'étage attendant d'être sécurisé pour recevoir le public - les visiteurs ont accès au jardin de 2,5 hectares où quelques ruines d'une ancienne usine sont encore visibles. Car la propriété abritait autrefois l'une des sucreries les plus prolifique de Guadeloupe. Des écrits disent qu'en 1860, neuf usines sucrières étaient en activité sur le territoire guadeloupéen. Zévallos, la plus importante d'entre elles, produisait 1 500 tonnes de sucre alors que les autres n'en livraient que 500 chacune. Dans cet espace planté en flamboyants ou palmiers, les restes d'une cheminée, d'une machine à fabriquer la vapeur ou encore d'une balance témoignent de cette activité intense. Maggy Beausir propose au public de terminer la visite sur une petite note de fraîcheur, en leur offrant un jus de fruits frais sur la terrasse. D'ici quelque temps, la restauration sera proposée sur le site, sous la forme d'un buffet à thème. Histoire de prolonger ce moment de détente. (France Antilles) 24/01/2012 Le Comité carnavalesque prépare du « grandiose » Mass
Moul Massif, le groupe phare de la ville, ne va certainement pas
manquer tous ces rendez-vous carnavalesques. Le nouveau Comité carnavalesque
du Moule a été créé il y a bientôt un an et prépare donc cette année
son premier carnaval, avant de mettre sur pied d'autres manifestations. PAS UNIQUEMENT « DU CARNAVAL » Le nouveau CCM a été créé en février 2011, mais « a commencé à oeuvrer en mars-avril » , a souligné la secrétaire Marie-France Darasse. José Ouana, Lydie Minos, Fabrice Lubin, Jacques Géniès, Lily Vincenot et Malou Danchet composent le bureau en leur qualité respective de président, 1er et 2e vice-présidents, trésorier et adjoint et secrétaire adjointe. Néanmoins, la structure n'entend pas cantonner ses activités au seul carnaval. « La stratégie globale du CCM s'articule autour de deux axes : des activités carnavalesques et artisanales » , a résumé la secrétaire. « Nous ne voulons pas faire que du carnaval mais organiser aussi d'autres types de manifestations, pour rester soudés mais aussi être fin prêts pour l'an prochain » , a confirmé le président José Ouana. - Programme de février -
Tous les mercredis : animation du marché agricole par les groupes
carnavalesques. A
noter: ce weekend
c'est le nettoyage de plage régional.
Samedi 1er octobre, nous serons présent à partir de 14H00 au Moule
sur le spot de Damencourt et le dimanche 2 octobre nous serons à
bananier dès 9h00. Sacs poubelles, gants et tee-shirt seront distribués. 30/09/2011 La Pan American Surfing Game en Guadeloupe Après le Brésil la Guadeloupe accueille du 10 au 20 novembre 2011 la Xème édition de la Pan American Surfing Game 2011 sur des les spots du Moule et d'Anse-Bertrand. 13/09/2011 Réouverture de l’abattoir Pointe-À-Pitre.
Lundi 12 Septembre 2011. CCN. Le Conseil Général tient ses engagements
quant à la réouverture de l’abattoir du Moule. Conformément au planning,
les travaux de remise à neuf des sols de l'abattoir du Moule se
sont achevés ce dimanche. 07/09/2011
- Abattoir du Moule : 01.06.2011 Thomas Romon, archéologue à l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), rappelle l'importance du site de Sainte-Margueritte.Dans quelles circonstances a été découvert le cimetière de Sainte-Margueritte ? Le cimetière de Sainte-Margueritte a été découvert de deux façons. La première, par les pièges de sable. Dans les années 1970, début 1980, on a ramassé beaucoup de sable sur les plages pour les constructions, notamment sur Sainte-Margueritte et c'est lors d'une prise de sable que des ossements humains et des sépultures ont été découverts. Quelle est l'histoire du site ? En 1995, un projet de construction sur la plage a été envisagé et un diagnostic archéologique a été effectué préalablement afin de vérifier l'existence de sites intéressants. Les travaux des archéologues ont permis de révéler un cimetière important et le projet de construction a été abandonné. Entre 1996 et 1997, beaucoup de sites d'époque coloniale ont été mis à jour et le service régional d'archéologie, à l'initiative du ministère de la Culture, a décidé de développer un axe de recherches afin d'obtenir plus d'informations sur ces sites. Dans le cadre du développement de cet axe, Patrice Courtaud, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et au laboratoire d'anthropologie de Bordeaux a été appelé pour réaliser une expertise du cimetière. Par rapport aux nombreux sites pillés ou détruits par les cyclones et compte tenu de la difficulté du travail d'archéologie liée à la pression touristique, il était plus facile de réaliser ces travaux à Sainte-Margueritte car la plage est moins fréquentée. Quelles recherches ont été effectuées ? Quatre campagnes de fouilles ont été menées entre 1997 et 2002 et 272 tombes ont été découvertes mais il y en a probablement un millier. L'échantillon étudié est suffisamment représentatif pour découvrir l'identité des individus de ce cimetière. Il y a de fortes présomptions que ce soit un cimetière d'esclaves. Certains individus présentaient des caractéristiques qui dénotent d'origines africaines. Est-il possible d'estimer son âge ? Le cimetière a fonctionné à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, ce jusqu'au moins 1850 puisque nous avons découvert un individu qui portait une médaille sur laquelle était inscrite « 1850 » . Est-il vrai que c'est l'un des trois cimetières d'esclaves les plus importants étudiés dans le monde ? Il n'y a pas eu beaucoup de fouilles sur des cimetières de l'époque coloniale. Dans le monde, le premier a été celui de Barbade dans les années 1970, sur l'Habitation Newton. Une centaine de tombes ont été fouillées. Le second, dans les années 1980, à New York, Manhattan, a livré près de 500 individus. Mais pour ces deux cimetières, il y a eu une perte d'informations liée au mauvais état de conservation. Et le 3e est celui de Sainte-Margueritte où ont été découverts 270 sujets bien conservés qui livrent beaucoup d'informations. La collection est conservée au musée Edgar-Clerc et accessible pour de nouvelles recherches, comme celles effectuées sur la tuberculose. En 2011, une équipe allemande a repris les recherches et a obtenu des informations sur l'histoire de la bactérie. C'est un site important du point de vue patrimonial et archéologique. 26/07/2010 Après le pont qui mène à l'Autre-Bord, impossible de rater le panneau du parc de loisirs Antoine Chérubin! D'ailleurs, même en ce jeudi pluvieux, les visiteurs ne manquent pas. Qu'il s'agisse de jeunes de centres d'accueil de loisirs, de familles des environs ou de vacanciers en quête de détente, tous y trouvent leur compte. Nul besoin d'être un grand sportif pour prétendre aux différents espaces. « Nous accueillons les enfants à partir de 8 ans » , précise Ali Ouana, directeur de la Régie des sports. « Mais s'il y a un enfant de 3 ans qui est accompagné de ses parents, il pourra également profité des activités. » Au parc Antoine Chérubin, pas moins de huit loisirs sont proposés. Ainsi, sportifs confirmés ou amateurs ont accès aux randonnées (pédestres ou en VTT), au tennis, minigolf, beach soccer et beach volley, canoë kayak. Par ailleurs, il y a le complexe aquatique Geoffroy Robert. Cet espace, composé de deux bassins, connaît un grand succès grâce à son toboggan d'une hauteur de 7,40 m. Pas d'inquiétude concernant ce « monstre » spiralé, il est destiné aux grands comme aux petits. De plus, à l'espace aquatique, plusieurs éducateurs municipaux vêtus de rouge veillent au grain. Ceux qui préfèrent rester au sec pourront se rabattre sur les cinq courts de tennis et taper quelques balles. « Nous mettons les activités en place à la demande du public et effectuons un planning. Il nous est possible d'accueillir 670 personnes simultanément » , a expliqué le directeur. Une organisation rigoureuse est indispensable lorsque le parc accueille les jeunes de centres de loisirs. Par ailleurs, il est possible de profiter simplement du site, seul ou en famille, en pique-niquant sur les aires appropriées. Ticket valable toute la journée Enfin, le centre d'hébergement sportif, situé juste à côté, offre l'opportunité de prolonger les plaisirs en bénéficiant sur place de tout le confort nécessaire. « Nous avons à disposition quinze bungalows pour un total de 82 couchages » , expose Ali Ouana. « Onze de six places et quatre de quatre places. D'ailleurs, actuellement, nous avons des visiteurs qui viennent de Martinique et de Métropole » . Après ces derniers jours pluvieux, le Parc entend reprendre un rythme plus soutenu en mettant l'accent sur la pluralité de ses activités et ses tarifs avantageux. « Le ticket est à 4,50 euros pour les adultes et 3,50 euros pour les enfants » , a détaillé le responsable. « Il est valable toute la journée et donne accès à une activité. Mais nous proposons des tarifs de groupe. Pour un groupe de dix enfants c'est 30 euros et 40 euros pour dix adultes. » a-t-il conclu. Un atout non négligeable en cette période de crise. (France-Antilles) - Informations et réservations à la Régie des sports. Contactez le 0590 22 44 40..
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